Je m'appelle Sofiane, j'ai 22 ans et je vais vous raconter comment j'ai découvert que ce que j'aimais par dessus tout était les grosses bites de renois.
Cette histoire s'est passé il y a quelques années, j'habite à Paris dans le 14ème mais au moment de l'histoire j'étais chez mon cousin Ahmed qui habite à Saint-Denis.
Mes parents étaient parti en vacances au Maroc, mon pays d'origine, il m'avait donc dit de rester chez ma tante Fatima et son fils Ahmed.
C'était un samedi soir durant l'été, et il faisait terriblement chaud, au moins 35 degré et il n'y avait pas de climatiseur chez ma tante. Ma tante était partie chez des amies et n'allait pas
revenir avant le lendemain matin, Ahmed en a donc profité pour inviter sa petite amie. Il me dit de sortir faire un tour pendant quelques, voire quelques heures si je voulais bien, à ce moment je
savais qu'il comptait la baiser.
En pensant à Ahmed avec sa petite amie, je me suis que ça faisait quelques temps que je n'avais pas baisé (ou plutôt que je ne m'étais pas fait baiser, je dis à tout le monde que je suis hétéro
mais en fait je suis gay, et j'adore par dessus tout sucer des belles bites d'arabes). J'ai donc accepté d'aller faire un tour mais je ne connaissais pas vraiment Saint-Denis en dehors des
endroits où Ahmed avait l'habitude de m'emmener, il était tard et trainer dans des cités du 93 seul me paraissait dangereux.
Je suis donc sorti et je me suis trouvé dans une cité voisine quand un groupe de blacks m'a approché, ils étaient environ 7 et je savais ce qu'on disait sur les bites de renois même si je n'en
avais jamais vu en dehors des films de culs qui me faisaient mouiller comme une chienne.
Le groupe voyait que j'étais mal à l'aise et ils m'ont demandé de m'approcher.
- "Wesh ça va ? Tu cherches quoi ?"
- "Rien" lui répondis-je, avant continuer ma route.
- "Attend tu vas où ? Je t'ai dit de partir ?"
À ce moment là, ils ont vu que je rougissais. Je suis grand, je fais 1,86 pour 79kg mais la plupart semblait plus imposant que moi.
- "Tu veux fumer ?" me demanda un deuxième.
- "Non désolé je fume pas"
- "Aller viens c'est qu'une chicha, pourquoi tu fais la salope ?"
J'ai donc décidé de les suivre dans le hall de l'immeuble. Mais je me suis vite rendu compte qu'il n'y avait pas de chicha.
- "Tkt on la fume dans la cave, sinon les vieux nous pètent les couilles"
On est descendu dans des escaliers jusqu'au -2, je suivais l'un d'entre eux et les 6 autres étaient derrière moi et je les entendais rire et chuchoter. Il a ouvert la cave, elle était assez
grande pour qu'on y rentre tous.
Je leurs ai demandé où était la chicha, personne ne me répondait et tout le monde me regardait, ils étaient en cercle autour de moi et certains d'entre eux semblait mater mon cul.
- "Ferme la porte, Bakary" dis l'un d'entre eux. À ce moment je pensais qu'ils allaient m'agresser et prendre mon téléphone.
J'ai essayé de sortir mais ils me retenaient et ils avaient déjà fermé la porte, quelques mains m'attrapaient les fesses (on m'a toujours dis que j'avais un bon cul).
- "Tu pensais vraiment que tu allais fumer ? La seule chose que tu vas mettre dans ta bouche c'est nos bites"
Ils attrapaient mes mains et les forcer à caresser leurs bites, j'avais déjà toucher des grosses bites de rebeux mais celles là étaient immenses et ils ne bandaient même pas encore. Ce qu'on
disait sur les renois était vrai.
Ils me forcèrent à me mettre à genoux et certains d'entre bites forçaient leurs bites dans ma bouche à tour de rôles, j'essayais de résister mais elles étaient tellement bonnes, j'ai donc
commencé à les sucer avec envie. Ils ont vus que je bandais, ma bite fait 18cm mais à coté des leurs elle était ridicule, aucun d'entre eux n'avait une bite de moins de 21cm bien large. Ils se
sont donc servis de ma bouche et l'un d'eux à lâcher tout son jus dedans. Il m'a giflait pour que j'avale et m'a traité de petite pute rebeu en disant que j'aimais ça (et c'était vrai). Ils me
soulevèrent et m'arrachèrent mon pantalon, ils m'ont craché 2-3 fois dans le cul et m'ont enfoncé une grosse bite, la plus grosse que j'avais jamais prise dans le cul. J'ai crié mais on entendait
à peine mon cri car j'avais une immense bite de renoi dans la bouche. Je sentais qu'il n'avait pas mis une capote mais j'avais trop peur pour lui dire d'arrêter, ils me baisèrent à tour de rôles,
sans capote et me fécondèrent ma chatte anale qui était maintenant bien dilater. Et d'autres se vidèrent dans ma bouche. Ils m'ont demandé si j'aimais le jus de black et s'en faire exprès je
leurs répondis "Oui, maîtres". Ils m'ont laissé partir et tout les soirs de cet été je retournais chez eux, j'étais devenu accro aux grosses bites de renois et ils se vidaient dans moi à chaque
fois.
C'est donc à ce instant que j'ai compris que les blacks étaient les meilleurs, et que les petites putes rebeux comme moi étaient là pour les servir. Depuis je ne me fais niquer que par des renois
et j'adore ça.
Si vous voulez m'écrire, envoyez moi un mail à beurablack@hotmail.com
